Stanza commence son histoire aujourd’hui et ça s’appelle UNDA : une musique qui ondule entre sépia et colorama.
Dans un esprit années 1980 assumé, les quatre gars montrent un panorama : du dandy pop Etienne Daho au bondissant Sinclair… ou vive versa ! Racontant des bouts de vie à vi, tel un magma, Stanza enveloppe ses mots de nappes de clavier à la Shaka Ponk ! Voilà une batterie qui claque sans blabla ! La scène est un trempolina. Monté sur ressorts, Jérémy ne donne pas le choix. Avec ses trois complices Low, Jona et ALex, il met les pieds dans le plat ! Mais attention, pas de concert les soirs de Koh Lanta !
Unda est un visa pour la pop fraîche pur jus et pour danser illico ! Les textes sont en français ou presque.
Entre Molière et Shakespeare, la langue reflète l’humeur du moment, il n’y a pas de choix cornélien ! Sensuelle et écorchée en version originale ou sexy et rugueuse, carrément réduite à 1 seul couplet. Ça tombe bien : Stanza, ça veut dire strophe en anglais. Ils ont appelé leur premier album Unda, comme pour envoyer de bonnes ondes.
Qu’attendre de plus ?
Le groupe se présente avec comme membres :
Jérémy Dewinter (chant/guitare) – Laurent Caron (batterie) – Jonathan Rogier (claviers) – Alexandre Devaux (basse) – Vincent Henninot (son) et Anne Gauthier (management) et défend le genre chanson French Up !