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Rencontre d'écrivain : Julia Deck et son nouveau roman Propriété privée

Chronique

24 septembre 2020 - par Nicolas FOURNIER

Rencontre d’écrivain : Julia Deck et son nouveau roman Propriété privée2 min. de lecture

Il n’y a pas que les concerts ou les pièces de théâtre qui ont été reportés après le confinement : un certain nombre de festivals de BD ou de salons littéraires ont aussi été affectés.

Prévue le 31 mars dernier, la rencontre avec l’écrivaine franco-britannique Julia Deck (dont le premier roman : Viviane Elisabeth Fauville a été salué par la critique à sa sortie en 2012) avait dû remettre sa venue à la Chouette librairie ce mardi 15 septembre.

Une vingtaine de personnes avaient réservé leur place et ajusté leurs masques afin de la rencontrer pour la sortie de son nouveau roman : Propriété privée.

Fini les grandes villes dans ce quatrième opus, après Paris ou Le Havre place aux charmes de la banlieue pavillonnaire et plus précisément des écoquartiers.

Après un premier chapitre permettant de présenter le tournant majeur de l’intrigue (que l’auteure nous lira elle-même) place à trente autres chapitres nous replongeant dans les six mois précédant cet événement sous forme de flash-back puis le reste pour faire avancer l’intrigue.

À cet égard, ce roman lui paraîtra plus simple à écrire que le précédent avec ses multiples narrateurs. Dans propriété privée, la simplicité prédomine : le personnage principal est la narratrice et le tout est à la première personne.

Après une autre lecture permettant aux spectateurs d’apprécier le style de Julia Deck, les questions de la modératrice s’enchaînent.

On parlera notamment d’Agatha Christie dont elle apprécie l’écriture toute mathématique plus que le style un peu répétitif.

La parole est à l’auditoire : une seule femme se lancera pour s’étonner du choix du titre. Julia Deck s’est inspirée de ces panneaux qui fleurissent un peu partout sur le territoire et notamment dans les lotissements où se déroule l’action du livre et qui délimite la propriété privée des occupants, comme un rêve de société.

Étonnement, c’est plutôt bien passé auprès de son éditeur. Mais, le bandeau apposé par les libraires sur le livre en dit un peu plus long en promettant une bonne dose d’humour délicieusement malsain.
On n’en dira pas plus, pas question déventer le suspens, en tout cas l’auteure, sympathique a clairement donner envie de lire à son auditoire.

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