Pendentif, Mafia Douce
Les doux yeux de la pop
Le quintet bordelais fait ses armes sur scène depuis tris ans et qui s’est posé à Roubaix le 6 mars 2014, avec sa pop riche et acidulée, déclinée sur les 12 titres de « Mafia Douce », l’album sorti en septembre dernier. Tous les sons des années 90 y sont, tempos nerveux, mélodies légères et efficaces, guitares perchées qui puisent autant dans des nappes à la Cocteau Twins que dans le tempérament de Niagara, et le plaisir communicatif d’une voix qui se balade, pétillante et mutine. Le tout enrobé d’arrangements électro qui donnent la puissance à l’ensemble et son originalité éclectique. Un petit bijou qui reste dans les oreilles.
Christine Protin
Le quintet bordelais fait ses armes sur scène depuis tris ans et qui s’est posé à Roubaix le 6 mars 2014, avec sa pop riche et acidulée, déclinée sur les 12 titres de « Mafia Douce », l’album sorti en septembre dernier. Tous les sons des années 90 y sont, tempos nerveux, mélodies légères et efficaces, guitares perchées qui puisent autant dans des nappes à la Cocteau Twins que dans le tempérament de Niagara, et le plaisir communicatif d’une voix qui se balade, pétillante et mutine. Le tout enrobé d’arrangements électro qui donnent la puissance à l’ensemble et son originalité éclectique. Un petit bijou qui reste dans les oreilles.