C’est un retour aux sources pour Julien Kaibeck, auteur belge au parcours profondément ancré dans le Nord, à Roubaix plus précisément, et voix bien connue des téléspectateurs de France 3 Hauts-de-France.
Céline Galant
À l’occasion de la parution de son nouveau roman, Les Centauresses (éditions Les Presses Littéraires), l’écrivain revient dans la métropole lilloise pour présenter son œuvre à la presse régionale.
Ce roman, soutenu par le musée Ingres Bourdelle de Montauban et par Sylvette Gaudichon-Botella du musée La Piscine à Roubaix, s’annonce déjà comme une ode à la rencontre et à la réconciliation des différences.
Dans Les Centauresses, Julien Kaibeck explore la naissance d’une amitié féminine hors du commun, entre deux femmes que tout semble opposer : leurs origines, leurs convictions, leurs trajectoires de vie.

Et pourtant, c’est dans le langage universel des beaux-arts qu’elles vont trouver un terrain d’entente, une respiration, un espace de liberté. Le roman, traversé par la figure inspirante de Bourdelle et nourri par la symbolique du corps sculpté, interroge avec finesse les notions d’identité et d’altérité. J. Kaibeck y déploie une écriture sensible, presque picturale, qui fait dialoguer les âmes autant que les formes.
À travers cette amitié née de la différence, Les Centauresses nous rappelle que la tolérance n’est pas un concept abstrait, mais une aventure intime — celle d’accepter l’autre sans renoncer à soi.
Déjà disponible dans les ibrairies telles que Cultura, Amazon, le Furet ou encore Decitre et au musée La Piscine de Roubaix. Et pour la Belgique il y a la Fnac.
Ce roman promet de toucher autant les amoureux d’art que les lecteurs en quête d’humanité et de beauté partagée.