Girls Names.
Arrivé un peu en retard devant le bar le Rouge, je n’ai pas vraiment pu assister au concert de la première partie, John Doe. Dommage, ce groupe lillois, dont le son est proche de celui de la tête d’affiche devait valoir le coup si j’en juge aux quelques minutes que je suis parvenu à grappiller.
Tant pis pour ce premier rendez-vous, concentrons-nous sur le but de ma venue dans ce coin reculé du Vieux Lille : les « nordirlandais » de Girls Names.
En patientant devant l’entrée du bar, je m’aperçois que certains membres du quatuor squattent aussi à l’extérieur en attendant leur tour, profitant du beau soleil qui chauffe ce dimanche après midi.
Avec un peu de retard sur l’horaire prévu, les musiciens prennent place dans le fond de la salle où quelques dizaines de personnes se massent pour les voir. Je m’étais intéressé à ce groupe lors de leur première venue dans la métropole, en février dernier à la Péniche pour être exact. J’avais été attiré par le son proche d’un Joy Division, sans pour autant que le chanteur ne se sente obligé de singer Ian Curtis . La jeune fille derrière la basse assure un son bien ronflant à l’ensemble.
Si le groupe a à son actif deux albums, le set est relativement bref (moins dune heure) et laisse la place à de nouveaux titres prometteurs. Si le groupe n’est pas encore très connu dans nos contrées des chansons comme Pittura Infamente ou The New Life ont le potentiel nécessaire pour capter l’attention.
Alors si ce groupe repasse dans la métropole, je vous conseille fortement d’aller les voir jouer. Vous ne serez pas déçu.
Nicolas Fournier
Avec un peu de retard sur l’horaire prévu, les musiciens prennent place dans le fond de la salle où quelques dizaines de personnes se massent pour les voir. Je m’étais intéressé à ce groupe lors de leur première venue dans la métropole, en février dernier à la Péniche pour être exact. J’avais été attiré par le son proche d’un Joy Division, sans pour autant que le chanteur ne se sente obligé de singer Ian Curtis . La jeune fille derrière la basse assure un son bien ronflant à l’ensemble.
Si le groupe a à son actif deux albums, le set est relativement bref (moins dune heure) et laisse la place à de nouveaux titres prometteurs. Si le groupe n’est pas encore très connu dans nos contrées des chansons comme Pittura Infamente ou The New Life ont le potentiel nécessaire pour capter l’attention.
Alors si ce groupe repasse dans la métropole, je vous conseille fortement d’aller les voir jouer. Vous ne serez pas déçu.
Arrivé un peu en retard devant le bar le Rouge, je n’ai pas vraiment pu assister au concert de la première partie, John Doe. Dommage, ce groupe lillois, dont le son est proche de celui de la tête d’affiche devait valoir le coup si j’en juge aux quelques minutes que je suis parvenu à grappiller.
Tant pis pour ce premier rendez-vous, concentrons-nous sur le but de ma venue dans ce coin reculé du Vieux Lille : les « nordirlandais » de Girls Names.
Nicolas Fournier