
Saphirs de platines endommagés par la dynamique de leurs 45 tours, salle incendiées et rendues suffocantes par une débauche d’énergie à faire rouler un train. C’est piloté par un funk abrupt et viscéral que The Buttshakers laissent les traces brûlantes de leurs passages.
Après ne décennie à exercer, c’est avec une autre vision musicale que The Buttshakers ont abordé Sweet Rewards, leur première collaboration avec Underdog Records. Ce sillon des scènes garage des années 1960 où le rock joue des coudes. The Buttshakers ont décidé d’en sortir pour revenir à une musique soul qui s’en remettrait plus à l’énergie pure pour tout enfoncer sur son passage. Une musique soul qui se concentrerait sur la qualité de l’écriture, de la composition et de l’interprétation.
Dépassant les limites imposées par leur pourtant percutante formation à six voix-basse-batterie-guitare-trombone-sax baryton, ils ont alors donné l’accès du studio à percussions pour du vice dans l’arrière mélange. On y observe des cuivres supplémentaires pour section plus massive, clavier à nappes psychédéliques et à tout ce qui viendrait concrétiser.

Après ne décennie à exercer, c’est avec une autre vision musicale qu’ils ont abordé Sweet Rewards, leur première collaboration avec Underdog Records. Ce sillon des scènes garage des années 1960 où le rock joue des coudes. Ils ont décidé d’en sortir pour revenir à une musique soul qui s’en remettrait plus à l’énergie pure pour tout enfoncer sur son passage. Une musique soul qui se concentrerait sur la qualité de l’écriture, de la composition et de l’interprétation.
Dépassant les limites imposées par leur pourtant percutante formation à six voix-basse-batterie-guitare-trombone-sax baryton, ils ont alors donné l’accès du studio à percussions pour du vice dans l’arrière mélange. On y observe des cuivres supplémentaires pour section plus massive, clavier à nappes psychédéliques et à tout ce qui viendrait concrétiser