Le nouvel album de The Bony King s’appelle Wild Flowers et la sortie est prévue pour le 16 novembre 2015.
Protégé d’An Pierlé, Bram Vanparys, alias The Bony King of Nowhere, qui tire son nom d’une chanson de Radiohead, nous avait emportés dans un univers mélancolique, sobre et émouvant avec « Eleonore ».
Après avoir réalisé la bande originale du film « Les Géants » de Bouli Lanners, l’artiste revient avec sa voix d’ange et les rythmes folk de sa guitare pour son troisième album éponyme. Le jeune Gantois a trouvé l’inspiration à la campagne, dans les Ardennes, et c’est en une seule nuit qu’il a enregistré ce nouveau disque résolument acoustique et épuré.
Après trois albums de folk délicieux et délicats, The Bony King of Nowhere a changé de nom.
Ce pseudo un peu longuet qu’il avait emprunté à Radiohead et qui reflétait davantage sa modestie et sa timidité que l’étendue d’un royaume aux charmes boisés. Rompant avec ses habitudes, l’auteur-compositeur et interprète belge s’en est allé l’an dernier enregistrer Wild Flowers dans la banlieue de Los Angeles avec Ryan Freeland (T-Bone Burnett, Joe Henry, Aimee Mann) et des musiciens – comme le batteur Jay Bellerose – sélectionnés en écoutant le travail du producteur pour Solomon Burke, Ray LaMontagne et autre Robert Plant…
Wild Flowers, c’est les grands espaces du Far West états-unien. L’Americana dans ce qu’elle a de plus noble. Quelque part, entre country et la musique folk. Entre ses héros Neil Young et Gram Parsons. Avec Wild Flowers, il chausse aujourd’hui ses bottes de cowboy et enfile son Stetson pour battre les Américains sur leur propre terrain.