
Le mois de février sera en riche en sorties d’album mais aussi en EP ! En effet, le mois débutera avec l’EP Aishiteru Remix d’Ornette qui reprend des titres de son second album remixés par des partenaires de longue date à savoir Don Turi, WORSHHHIP, DyE et The Joy Society !
Ensuite, le 19 février Lukasz sortira son EP Blasteed : Pursuit Endaemoniac, un titre qui fusionne ingénieusement le terme philosphique « Eudaimonism » et le terme « demoniac » soulignant la lutte pour le bien-être au milieu des démons intérieurs et extérieurs. Lukasz a créé une expérience qui résonne avec les auditeurs à de multiples niveaux, Il cherche à s’épanouir et ses fans aussi.
Enfin, SHEARS nous offrira le dernier EP du mois février, Now We’re Getting Somewhere ! 6 titres qui sont une invitation à la danse, qu’on rajoute si facilement à notre playlist, bref un EP très réussi !
Ornette et son EP « Aishiteru Remix » (Sortie le 2 février – Label : Lucy)
Depuis son arrivée fracassante en 2011 avec son titre Crazy, Ornette multiplie les rencontres et les collaborations. Naviguant entre la scène et le studio, l’électro, la pop ou le jazz, on la retrouve avec Joris Delacroix, Make The Girl Dance, Fink, Fabrizio Rat, Arandel, Le Sacre du Tympan ou The Toxic Avenger sur des titres qui cumulent des millions de streams. Son deuxième album Aishiteru (je t’aime en japonais – langue qu’elle étudie depuis 5 ans) marque un retour raffiné et envoûtant, divertimento hybride coréalisé avec finesse avec Renaud Letang. Après la sortie de plusieurs featurings remarqués dans le milieu du jazz (Chocs Jazz Magazine), No Time ou Song 1.1. et Song 1.2 en duo avec Thomas de Pourquery pour les artistes victoires du jazz Sylvain Rifflet et Philippe Gordiani, elle revient cette année avec des remixes inédits.
Pour les remixes de cet album, Ornette fait appel à̀ des partenaires de jeu de longue date, Don Turi avec qui elle a monté un studio d’enregistrement à Paris, DyE qui était sur scène avec elle, WORSHHHIP rencontré en tournée avec Brigitte et The Joy Society qui l’a invité́ sur un titre. Avec Ornette, tout est une affaire de lien, un fil qui tisse une histoire musicale protéiforme. Veuillez accueillir avec chaleur et grand bruit, Don Turi (Ci4zen Record, Kitsuné, Get Physical), DyE (Tiguersushi), WORSHHHIP et The Joy Society pour un EP de remixes festifs avant la sortie du 3e album qu’elle est en train de finaliser.
Lukasz et son EP « Blasteed : Pursuit Endaemoniac » (Sortie le 19 février – Label : Cool Kids Never Sleep)
Le spectre musical de l’EP témoigne de l’approche innovante de Łukasz, qui s’inspire de divers genres. La batterie rappelle le cran des vieux groupes de rock, les synthétiseurs évoquent les mélodies obsédantes de la new wave sombre, et la basse rend hommage à l’esprit rebelle du punk. Ces éléments s’harmonisent parfaitement, créant un paysage sonore qui reflète le chaos et la détermination dans la poursuite de l’eudaimonia.
Łukasz parle de son sentiment d’être piégé dans la Ville Lumière, aspirant perpétuellement à se libérer de son attrait. L’EP explore la lutte de la jeune génération contre les pressions de la société en tant qu’artiste, l’addiction et la quête de liberté, avec en toile de fond un environnement urbain à la fois séduisant et étouffant. Alors que Łukasz emmène le public dans cette odyssée sonore passionnante, Blasteed : Pursuit Endaemoniac invite les auditeurs à réfléchir à leur propre vie, à leurs défis et à leurs aspirations. Son premier EP promet de laisser une trace indélébile dans le paysage musical français, marquant l’avancée artistique audacieuse de Łukasz vers des territoires inexplorés.
SHEARS et son EP « Now We’re Getting Somewhere” (Sortie le 21 février – Label : autoproduction)
Now We’re Getting Somewhere est un EP rythmé et enlevé, avec des éléments de drum n bass, de big beat et de tech-house qui soutiennent des crochets vocaux poppy. Tous les morceaux ont été écrits, enregistrés, produits et mixés par SHEARS dans son home studio de Leith, à Édimbourg. Dans ses textes, SHEARS explore l’étrange tissu de la vie sociale, de la confusion des amitiés perdues à la clarté de trouver l’amour et d’être compris. Si les paroles sont profondément personnelles, la musique est immédiate et instinctive ; une invitation ouverte à la danse. S’inspirant des productions de Grimes, Bicep et Kelly Lee Owens, la musique dance de SHEARS est aussi réfléchie que grandiloquente, et aussi subtile qu’amusante. « Cet EP a été très cathartique pour moi – j’ai écrit sur les ruptures, qu’il s’agisse de rompre avec son téléphone ou avec un ami. J’ai aussi écrit sur l’autre côté, sur le fait de se sentir compris par les gens qui vous entourent. »