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Actualité culturelle en Hauts-de-France et Belgique
River JAZZ Festival
Festivals, Fêtes

River JAZZ Festival 23.11-9.12.23 Marni, le Senghor, Jazz Station

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16 novembre 2023 - par Sébastien CIRON

La 9e édition du River Jazz Festival ce sont 3 salles bruxelloises qui collaborent, 17 concerts, dont 4 sorties de CD et 2 concerts famille, les 3 concerts de la River Jazz Night confiée à l’incroyable accordéoniste diatonique Anne Niepold.

Du 23 novembre au 9 décembre. Mais aussi l’expo photo du collectif Bruxelles Pixels dont le leitmotiv est « Make Brussels Tof again’! » (tof signifie fun), une soirée swing et une conférence: la quinzaine bruxelloise est guidée par une passion commune du jazz, emmenée par la force souterraine de la rivière le Maelbeek, inspirée par les talents belges et une poignée d’invités étrangers. Autant de portes par lesquelles entrer dans le festival qui se déploie sur 3 scènes de la capitale : le Marni, la Jazz Station et le Senghor.

Quelques repères dans l’agenda :

  • Les 3 premiers soirs du festival, jeudi 23 au Marni, vendredi 24 au Senghor et samedi 25 à la Jazz Station, un vernissage précède le concert : 5 photographes du collectif Bruxelles Pixels exposent au festival, leur leitmotiv « Make Brussels tof again !».
  • Samedi 25, le jazz résonne dans les 3 lieux avec un concert famille au Marni à 15:00, le concert de 18:00 à la Jazz Station et celui de 20:00 au Senghor.  
  • Le 1er décembre, easy swing organise une swing party à la Jazz Station.
  • Le dernier soir, samedi 9 décembre, Anne Niepold emmène le public dans une balade nocturne, la River Jazz Night au cours de laquelle elle jouera avec 3 groupes sur les 3 scènes : 18:00 Jazz Station, 19:30 Senghor et 21:00 Marni. C’est aussi l’occasion de profiter des 3 expos.

Qu’ont en commun le Marni, la Jazz Station et le Senghor ? Ce sont trois scènes vivantes de la capital. Il s’agit de trois lieux qui n’étaient pas destinés à l’origine aux arts vivants. Ce sont aussi et surtout les organisateurs du River Jazz Festival qui présente sa 9ème édition cet automne, du 23 novembre au 9 décembre.

17 concerts, dont 4 sorties de CD, 2 concerts famille, les 3 concerts de la River Jazz Night confiée à l’incroyable accordéoniste diatonique Anne Niepold. Mais aussi l’expo photo du collectif Bruxelles Pixels dont le leitmotiv est « Make Brussels Tof again’! », une soirée swing et une conférence: la quinzaine bruxelloise est guidée par une passion commune du jazz, emmenée par la force souterraine du Maelbeek, inspirée par les talents belges et une poignée d’invités étrangers.

ORIGINE

En 2015, le trio de programmateurs rêve à une soirée jazz inédite qui les réunirait : elle mettrait en lumière un.e artiste sur leurs 3 scènes. Cela ne s’est encore jamais vu dans la capitale et ça donnerait un goût de challenge aux musiciens jazz ! Le public pourrait les suivre facilement, la distance peut même être parcourue à pied. Ensemble, on est plus forts ! Programmation et promotion mutualisées se mettent en marche et débouchent rapidement sur une quinzaine de concerts au cœur de l’hiver. Le Maelbeek, rivière enfouie parcourant Ixelles, Etterbeek et Saint Josse (une partie du trajet actuel du bus 59 !) ressurgit dans les esprits : un lien géographique et historique naturel pour ces promoteurs de la note bleue.

Bientôt une expo commune se greffe à la musique, puis un rendez-vous pour les familles et une conférence pour les férus d’histoire, faisant intervenir la Maison du Jazz à Liège.

La River Jazz Night fait jaillir des formations inattendues : les leaders d’en donnent à cœur joie pour créer des sets sur mesure à chaque atmosphère : la saxophoniste Manuel Hermia en 2015, le trompettiste Laurent Blondiau en 2016, la bassiste Nicolas Thys en 2017. En 2018, c’est au tour de l’accordéoniste Tuur Florizoone et en 2019, le saxophoniste Nicolas Kummert prend le relais. Rythmique en feu avec le batteur Stéphane Galland en 2020, piano dans tous ses états avec Fabian Fiorini en 2021 (qui joue à la bibliothèque Solvay pendant les travaux au Senghor) et violon intense sous l’archet de Alexandre Cavaliere en 2022.

Toujours fidèles au concept d‘origine, le trio formé par Joëlle Keppenne (Marni), Kostia Pace (Jazz Station) et Sarah Gravier (Senghor) présente cette année la 9ème édition du festival qui arbore une night féminine, originale et éclectique avec l’accordéoniste diatonique Anne Niepold. Etoile du berger dans la nuit du 9 décembre, elle jouera en duo avec le pianiste Florejan Verschueren à 18:00 à la Jazz Station, avec l’accordéoniste diatonique anglais Andy Cutting à 19:30 au Senghor et fera revivre le groupe « Musette is not Dead » à 21:00 au BAR du Marni. Avec Anne Niepold, Stefan Bracaval flûte, Nicolas Garnier hautbois, Loïc Dumoulin Hermans trompette, Frederik Heriman trombone, Hendrik Vanattenhoven, contrebasse et Etienne Plumer batterie.

La Night est une aventure unique qui reste un moment privilégié avec l’artiste leader qui dévoile non seulement sa musique, mais aussi sa personnalité tout au long de la soirée. Pour la suivre, rien de plus simple que le pass 2 ou 3 concerts (20 ou 30€) et se balader de Saint Josse à Ixelles en passant par Etterbeek. Les repères sont clairs et décomplexés : les fritkots de la place St Josse, Jourdan et Flagey mettent une touche brusseleir au parcours !

Et cette année, le collectif de 6 photographes Bruxelles Pixels ne cache pas son objectif de rendre Bruxelles tof again, en montrant la ville sous un jour anticonformiste. Cinq artistes originaires de Bruxelles ou pas livrent leur regard décalé sur la cité souvent décriée, à la beauté particulière. Au Marni, Lionel Maelfeyt montre « Bruxelles Pelloche » et Eric Ostermann « Bruxelles surréaliste » (du 14 novembre au 28 janvier, vernissage le jeudi 23 novembre à 18:00). A la Jazz Station, l’œil de Patrice Niset a capturé « Les Erraillures de la Ville » (A partir du 23 novembre, vernissage le 25 novembre) et au Senghor, Hélène Cook a rassemblé des clichés de pieds près de la ligne jaune du métro avec « Happy Feet » tandis que Philippe Clabots imagine une histoire autour d’un personnage seul dans le mouvement de la ville : c’est la série « Mouvement relatif » (du 23 novembre au 9 décembre, vernissage le 24 novembre).

DU COTE DES CONCERTS LES ARTISTES BELGES TIENNENT LE HAUT DE L AFFICHE ET PRESENTENT 3 NOUVEAUX CD

David Linx (chant) en duo avec le pianiste français Grégory Privat pour l’ouverture du festival au Marni le 23 novembre et avec le Jazz Station Big Band à la Jazz Station le 7 décembre).

Depuis plus de vingt ans, il est le patron du jazz vocal sur le plan international. Il a su construire un répertoire singulier et exigeant. Qu’il chante, qu’il scatte, qu’il susurre, qu’il s’époumone, David Linx trouve toujours le ton juste, le tempo parfait.

Une rencontre sensationnelle, un véritable coup de foudre sur la scène de Radio France lui donne l’envie impérieuse de construire un nouveau répertoire avec le pianiste surdoué Grégory Privat. – Originaire de la Martinique, il a d’abord appris le piano classique avant de se tourner vers le jazz et les musiques improvisées avec une attention pour les musiques afro-caribéennes. En 2022, il sort un album de piano solo « Yonn » unanimement acclamé.

Le duo présente l’album « Be My Guest : The Duos Project », un album de duos avec des invités talentueux, connus et reconnus dans les quatre coins du monde : Tigran Hamasyan, Or Solomon, Hamilton De Holanda, Trevor Baldwin, Nguyên Lê… Narration, poésie, chansons, musique… Des dialogues entre David qui résonnent comme des déclarations d’amours, d’amitiés et parfois de challenges.

La contrebassiste Lara Rosseel en quintet au Senghor le 1er décembre

Contrôle et fantaisie sont au cœur des riches arrangements de Lara Rosseel, faits d’expansions intimes et de subtiles peintures sonores. Début 2020, Lara Rosseel créait la surprise sur la scène jazz belge avec son nouvel album De Grote Vrouw. Depuis, la contrebassiste belge est l’une des femmes les plus actives de la scène jazz belge. Pour son nouvel album Hert, Lara s’est entourée d’un tout nouveau groupe, composé de Sam Vloemans, Sep François, Willem Heylen et Angelo Moustapha. Un album qui passe d’arrangements riches à des pièces plus intimes, des compositions pour orchestre complet entrecoupées de petits tableaux auditifs. Une liberté musicale et créative avec pour seuls précédents le groove et l’ingéniosité de l’interaction. Un voyage qui déborde de mélodies dansantes et de rythmes surprenants, un jazz acoustique ethnique, flirtant dans une zone où le jazz cinématographique rencontre les racines traditionnelles africaines.

Le nouveau quartet polymorphe de Lorenzo di Maio « Ruby » avec Wajdi Riahi (piano), Pierre Hurty (batterie) et Cédric Raymond (basse moog) le 6 décembre au Marni (Sortie de CD chez Igloo Records).

Avec « RUBY » Lorenzo Di Maio continue son chemin musical vers quelque chose de plus éclectique et contrasté. Tout en gardant un goût prononcé pour les compositions mélodiques, il s’amuse à marier les genres avec ce nouveau quartet polymorphe.

Constitué de Lorenzo Di Maio à la guitare, Wajdi Riahi au piano et Fender Rhodes, Cédric Raymond au Moog et Prophet et Pierre Hurty à la batterie, RUBY est un patchwork assumé des influences variées du guitariste, qui vous distillera une musique où les mélodies délicates alternent avec les traits virtuoses, où le naturel cohabite avec le sophistiqué, où la sérénité côtoie une énergie viscérale et organique.

Telle est la musique de RUBY, imagée et explosive !

Etienne Plumer « Steppe », né de la carte blanche du Marni Jazz Festival percussions, avec Emmanuel Baily (chant, guitares), Thomas Grailet (chant, guitare), Grégoire Tirtiaux (saxophones, gembri, électronique) et des invités : Marine Horbaczewski (violoncelle), Martin Lauwers (violon) et Nicolas Fiszman (basse) le 30 novembre au Marni.

Pour fêter la sortie de son premier album, Steppe invite les trois précieux amis qui ont participé à l’enregistrement : Marine Horbaczewski (violoncelle), Martin Lauwers (violon) et Nicolas Fiszman (basse). Cette version deluxe sera l’occasion d’explorer de nouvelles combinaisons instrumentales et de nouveaux arrangements. « La Steppe est devant nous. Nous irons là où se mêlent les instruments et le chant, la composition et l’improvisation, la narration et les percussions, l’acoustique et l’électronique. Nous sentirons alors le vent souffler sur nos visages et sur nos corps. »

Bernard Flament et Bernard Massart du groupe Saouta, entourés de Akram Ben Romdane (oud) et Jim Monneau, le 25 novembre au Senghor.

Un oud, des tablas, un saxophone soprano, une contrebasse, quatre voix s’entrecroisent et s’unissent. L’univers de Saouta, fruit d’un imaginaire nourri de musiques celtique, arabe, indienne et de jazz, est une ode aux voyages, à la poésie de l’instant qui sans cesse se reconstruit. Saouta est né de la rencontre de Bernard Flament (tabliste) amoureux des cycles indiens et africains, et Damien Brassart (saxophoniste) féru de musiques celtiques et orientales. C’est au contact d’Akram Ben Romane, virtuose tunisien du oud, que leur voyage vers l’Est s’affirme soudain. Aux cordes sans frontières de ce joueur de oud, viendront finalement s’adjoindre celles de la contrebasse de Jim Monneau, musicien talentueux, gorgé d’influences.

Un esprit jazz tendu vers l’Ouest qui de Bruxelles, au carrefour de l’Europe, va à la rencontre du grand Est, de l’Orient, pour y tisser des liens, jeter des ponts, bâtir enfin des cultures qui désarment, célèbrent, rassemblent au-delà de toutes frontières.

Le quartet belgo-suédois formé par Mikael Godée (saxophone) et Eve Beuvens (piano) qui sort un nouveau CD « Ingen Fara » avec Magnus Bergstroem (contrebasse) et Johan Birgenius (batterie) le 28 novembre au Marni (Igloo Records).

Le hasard fait bien les choses : il a suffi d’un flyer et de quelques clics pour que Eve Beuvens et Mikael Godée se rencontrent en 2009. Leurs premiers concerts en duo ont révélé une complicité toute naturelle à laquelle ils ont associé Magnus Bergström à la contrebasse et Johan Birgenius à la batterie. Quatorze ans plus tard, après des dizaines de concerts en Belgique, Suède, France, Italie, Maroc, Espagne, Qatar, Pologne, ils sortent leur troisième disque en quartet « Ingen Fara ».

Tous deux à la barre du groupe de manière égale, Eve et Mikael se partagent les compositions, et celles-ci forment un ensemble étonnement homogène alliant le lyrisme nordique et le jazz moderne. Entre les quatre musiciens, la musique se passe comme un match de tennis dépourvu de toute rivalité et se déploie comme une conversation télépathique. Quatre personnalités musicales fortes qui se mettent au service les unes des autres, un vrai groupe !

« Ingen Fara » est une expression suédoise que l’on pourrait traduire par le « t’inquiète » que pourrait dire un enfant avant d’accomplir un geste téméraire, par exemple. Derrière ce titre le groupe veut transmettre un message positif, partager une musique qui ressemble à un vol d’oiseaux migrateurs libres et solidaires.

Steven Delannoye Quintet le 2 décembre à la Jazz Station

Le duo Delannoye-Andrioli, qui constitue le port d’attache des deux musiciens depuis de nombreuses années (avec deux albums sur elNegocito Records), ouvre aujourd’hui un nouveau chapitre. Steven apporte un large panel de mélodies et de sonorités tandis que Nicola élargit son champ des possibles avec l’ajout de synthétiseurs. À la batterie, nous retrouvons le luxembourgeois Pit Dahm, véritable touche-à-tout dont l’inspiration semble inépuisable, qui, avec son jeu de percussions raffiné, fait également la part belle à des grooves bouillonnants. Enfin, le guitariste Thomas Decock, avec une classe indéniable et un blues impeccable, apporte une touche unique une fois ajouté au son du saxophone. Avec Steven Delannoye (sax ténor), Nicola Andrioli (claviers), Thomas Decock (guitare) et Pit Dahm (batterie).

LE FESTIVAL EST AUSSI UNE OCCASION D INVITER DES GROUPES ETRANGERS  

Le pianiste français Grégory Privat, le 23 au Marni et le 2 décembre à la Jazz Station pour la sortie de son CD « Soley »

Découvert par le public lors d’un concours de piano organisé par le Festival de jazz de Montreux en 2008, Grégory Privat a depuis su se tailler une réputation de taille sur la scène française. Après son album ‘Family Tree’ paru sur le prestigieux label ACT, le pianiste et chanteur Grégory Privat confirme sa grande sensibilité en dépeignant un subtil hommage à la culture afro-antillaise dans ‘Soley’, sorti sur son propre label Buddham Jazz en trio avec Chris Jennings et Tilo Bertholo.

Le saxophoniste néerlandais Joris Potshumus en trio avec Matheus Nicolaiewsky (contrebasse) et Sander Smeets (batterie) le 8 décembre à la Jazz Station

L’alchimie musicale de ce trio est indéniable, chaque membre complétant les autres en parfaite harmonie. Leur aisance à alterner mélodies swing rapides et ballades émouvantes témoigne de leur totale polyvalence musicale. Le trio mélange du hard bop percutant avec des structures modales complexes, ce qui crée un son électrisant qui ne manquera pas d’épater le public. Le groupe, dénué d’instrument harmonique, permet une grande liberté, et offre un splendide terrain de jeu propice à l’expérimentation. Que vous soyez un passionné de jazz ou que vous recherchiez simplement une soirée divertissante, le trio de Joris Posthumus saura vous convaincre !

Un trio franco-américain : Romain Pilon (guitare), Jeff Denson (contrebasse), Fred Pasqua (batterie) le 24 novembre à la Jazz Station

Tous deux instrumentistes réputés, Jeff Denson et Romain Pilon se sont rencontrés il y a 20 ans au Berklee College Of Music. A l’époque, ils enchaînaient les jams sessions, ayant en commun le goût de l’aventure et l’amour d’un jazz sans idées préconçues. Depuis, ils ont chacun de leur coté de l’Atlantique mené de brillantes carrières en enregistrant de nombreux disques avec quelques-uns des plus grands musiciens de jazz au monde : Lee Konitz, Joe Lovano, Ben Wendel, Mike Stern, Jeff Ballard, Brian Blade… Après un remarquable premier album composé ensemble et une trentaine de concerts aux USA, ils viennent nous présenter leur nouvel opus, ‘Finding Light’. Le trio est complété à la batterie par le fantastique Fred Pasqua. Originaire de Marseille, véritable touche à tout stylistique, on a pu l’entendre au côté de Nelson Veras, Walter Smith, Logan Richardson, etc. La musique de ce trio, interactive et généreuse, est le reflet du plaisir que ces musiciens ont à jouer ensemble. Vous y retrouverez des influences allant de Led Zeppelin à Wayne Shorter, en passant par Miles Davis, Hendrix ou Satie… Une soirée à ne pas louper !

CONCERTS ET PLUS: KIDS, DANSE ET CONFERENCE

Pour attiser la curiosité, le festival révèle plusieurs facettes que reflète le jazz :

Avec deux rendez-vous pour les familles : « Les Héros du Mojo » par le bluesman Guy Verlinde. Le Mojo, c’est cette force magique qui vient de la culture afro-américaine et qui rayonne d’énergie positive. Dans ce concert participatif, le guitariste et harmoniciste passe du blues au rock’n roll, du gospel au boogie-woogie. Le 25 novembre à 15:00 au Marni. Joyeusement interactif aussi, « Griboujazz 2 » invite les enfants dans le cerveau en ébullition d’un·e musicien·ne en plein processus d’improvisation. Pour les kids de 5 à 10 ans le samedi 9 décembre à 16:00 au Senghor. Avec Thomas Champagne, Guillaume Vierset, Nicholas Yates et Fabio Zamagni. Illustrations et animations de Renato Baccarat.

Avec des cours de danse swing qui nous font remonter dans les années 1920 et 1940 au cœur de Harlem : Easy Swing c’est à la Jazz Station le 1er décembre.

Et enfin, dans le cadre du cycle Histoire du Jazz, Jacques Onan, de la Maison du Jazz à Liège donnera une conférence sur Michel Herr le 5 décembre à la Jazz Station. Le musicien sera présent pour commenter cette très riche carrière toujours en cours.

Pour découvrir tous ces artistes et les 3 scènes, plusieurs formules avantageuses s’offrent au public

RJF PASS : 3 concerts 35 euros : au choix dans toute la programmation, dans les 3 salles

River Jazz Night : 2 concerts (20 eur) ou 3 concerts (30 euros) pour le samedi 9 décembre

18:00 Anne Niepold invite Florejan Verschueren – Jazz Station

19:30 Duo Niepold – Cutting – Le Senghor

21:00 Musette is not dead – Marni BAR

Un site de référence www.riverjazz.be

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